Attention Âmes sensibles !!!…. Attenti, Anime sensibile…!!!

Je suis désolé, chers jeunes parents, de présenter un clip qui pourrait vous donner des idées, et même vous inciter à devancer le désir naturel de vos enfants…
 
Mi spiace, carissimi giovani genitori, presentarvi un clip che potrebbe darvi delle idee… e anche spingervi ad anticipare il desiderio naturale dei vostri figli…

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Béatification de Chiara « Luce » Badano – 25 septembre 2010

Béatification le 25 septembre (aujourd’hui) de Chiara Badano, surnommée « Luce = Lumière ». Une jeune italienne à l’allure sportive qui s’est lancée à fond dans l’aventure de l’Amour de Dieu.

A 17 ans, le diagnostic d’un cancer des os. Soutenue par ses parents et amis du Focolare, Chiara entame une nouvelle étape de sa vie, un défi parfois dur à relever. Deux ans plus tard, la maladie a consumé son corps, mais ses yeux pétillants parlent du secret de son âme.

 


Son médecin, non croyant, dira « Depuis que j’ai connu Chiara, quelque chose a changé au-dedans de moi. Là, je vois une cohérence; là, le christianisme me parle. »

Le 7 octobre 1990, c’est le départ de Chiara Luce pour la rencontre définitive avec Dieu. L’évêque du diocèse, profondément frappé par la vie de cette jeune, introduira sa cause de béatification, qui aura lieu aujourd’hui (25/09/10) au "Santuario del Divino Amore" de Castel di Leva – Rome…

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Compostelle: Une marche de conversion

"Incroyable tous ces jeunes qui étaient partis uniquement faire de la marche à pied en guise de vacances : passer à travers de beaux paysages français, espagnols, les montagnes, les plaines, ne voyant pas la destination finale. Tout faire comme des scouts, être seuls, en couples, en groupes… Ils n’auraient jamais imaginé être touchés par Jésus, être réchauffés près du feu de la grâce…"

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Nouvelles Paroisses pour les frères Capucins de Bastia

Par sa dernière lettre aux prêtres du diocèse d’Ajaccio Monseigneur Jean Luc Brunin, en accord avec le provincial des frères mineurs capucins de Sardaigne et Corse, le T.R. Père Salvatore Murgia, a confié la cure pastorale du secteur înter paroissial Saint Paul de Toga et Sainte Félicité de Ville di Pietrabugno à la communauté des frères capucins du Couvent Saint Antoine de Bastia. Le Père Thierry Serrano est nommé modérateur de ces paroisses.

        

Paroisse Ste Félicité – Ste Lucie                            Paroisse Saint Paul de Toga à Bastia

Vue de Bastia depuis l’église de Ste Félicité – Ste Lucie à Ville di Pietrobugno

MESSE D’ACCUEIL A LA PAROISSE SAINT PAUL DE TOGA

SAMEDI 11 SEPTEMBRE 2010 A 18H00

18h00 – Messe d’accueil du nouveau modérateur de la paroisse Saint Paul de Toga, le Père Thierry Serrano, présidée par l’Abbé Francis Ghisoni, vicaire épiscopal de Bastia – Cap Corse & Nebbio – Golo

19h00 – Rencontre avec les paroissiens autour d’un apéritif et d’un buffet…..

MESSE D’ACCUEIL A LA PAROISSE SAINTE FELICITE-SAINTE LUCIE

DIMANCHE 12 SEPTEMBRE 2010 A 10HOO

10h00 – Messe d’accueil du nouveau modérateur de la paroisse Sainte Félicité-Sainte Lucie à Ville di Pietrabugno (Bastia), le Père Thierry Serrano, présidée par l’Abbé Francis Ghisoni, vicaire épiscopal de Bastia – Cap Corse & Nebbio – Golo

 

11h00 – Rencontre avec les paroissiens autour d’un apéritif et d’un buffet…

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Liberté religieuse et mission catholique dans le nouvel ordre mondial, par Mgr Chaput

Sous le titre « Vivre dans la vérité », Mgr Charles J. Chaput, ofm cap, évêque de Denver (Colorado) a donné une conférence à Spisske Podhradie pour l’association des chercheurs en droit canonique de Slovaquie et la conférence des évêques de ce pays. Un appel à la résistance contre la logique répressive du relativisme. Voici la traduction des principaux extraits du texte de cette communication publiés par le vaticaniste Sandro Magister.

Vivre dans la vérité

Aujourd’hui, à notre époque d’interconnexion mondiale, les défis auxquels les catholiques sont confrontés en Amérique sont à peu près les mêmes qu’en Europe : nous affrontons une vision politique agressivement laïque et un modèle économique consumériste qui aboutissent – en pratique, sinon avec une intention avouée – à une nouvelle forme d’athéisme encouragée par l’État. […]

Aux États-Unis, pays qui est encore chrétien à 80 % et qui garde un niveau élevé de pratique religieuse, des agences gouvernementales cherchent de plus en plus, actuellement, à dire aux prêtres de l’Église comment ils devraient agir et à les contraindre à des pratiques susceptibles de détruire leur identité catholique. Des efforts ont été faits pour décourager ou criminaliser l’expression de certaines croyances catholiques, au motif qu’elles constitueraient des « discours de haine ». Nos tribunaux et nos corps législatifs accomplissent maintenant de manière récurrente des actes qui attaquent le mariage et la vie de famille, et ils cherchent à faire disparaître de notre vie publique le symbolisme chrétien et les signes de l’influence chrétienne.

En Europe, on note des tendances semblables, mais elles sont marquées par un mépris encore plus manifeste pour le christianisme. Des dirigeants de l’Église ont été injuriés dans les médias et même devant les tribunaux simplement parce qu’ils exprimaient l’enseignement catholique. […] Au début de cet été, nous avons été les témoins de formes de brutalité que l’on n’avait plus vues sur ce continent depuis l’époque où étaient en vigueur les méthodes policières nazies et soviétiques : le palais archiépiscopal de Bruxelles a été perquisitionné par des policiers, des évêques ont été arrêtés et interrogés pendant neuf heures sans bénéficier des garanties légales, leurs ordinateurs privés, téléphones portables et documents ont été confisqués. Même les tombes d’hommes d’Église défunts ont été violées à l’occasion de cette perquisition. Pour la plupart des Américains, cette sorte d’humiliation calculée, publique, de chefs religieux serait un scandale et un abus du pouvoir de l’État. Et cela n’est pas dû aux vertus ou aux fautes de tel ou tel des dirigeants religieux impliqués, puisque nous avons tous le devoir d’obéir aux lois justes. Le scandale tient plutôt au fait que les autorités civiles, par leur brutalité, montrent du mépris pour les croyances et les croyants représentés par leurs dirigeants. […]

Le cardinal Henri de Lubac a écrit un jour qu’« il n’est pas vrai que l’homme ne peut pas organiser le monde sans Dieu. Ce qui est vrai, c’est que sans Dieu [l’homme] ne peut en fin de compte l’organiser que contre l’homme. Un humanisme exclusif est un humanisme inhumain ».

Actuellement l’Occident s’achemine constamment vers ce nouvel « humanisme inhumain ». Et si l’Église doit réagir avec toute sa foi, nous avons besoin de mettre en pratique les leçons que vos Églises ont apprises sous les régimes totalitaires. Un catholicisme de résistance doit être fondé sur la confiance en ces paroles du Christ : « La vérité vous rendra libres » (Jean 8, 32).

Vivre dans la vérité, cela signifie vivre en accord avec Jésus-Christ et avec la Parole de Dieu dans la Sainte Écriture. Cela signifie proclamer la vérité de l’Évangile chrétien, non seulement par nos paroles mais par notre exemple. Cela signifie vivre, chaque jour et à chaque moment, de l’inébranlable conviction que Dieu est vivant et que son amour est la force motrice de l’histoire humaine et le moteur de toute vie humaine authentique. Cela signifie croire que les vérités contenues dans le Credo méritent que l’on souffre et que l’on meure pour elles.

Vivre dans la vérité, cela signifie aussi dire la vérité et appeler les choses par leur nom. Et cela signifie révéler les mensonges en fonction desquels certains hommes essaient d’en forcer d’autres à vivre.

Tous héritiers de la « synthèse chrétienne »

Deux des plus gros mensonges dans le monde actuel sont, en premier lieu, que le christianisme a été d’une importance relativement mineure dans le développement de l’Occident et, en second lieu, que les valeurs et les institutions occidentales peuvent perdurer sans être enracinées dans les principes moraux chrétiens. […]

On minimise parfois le passé chrétien de l’Occident avec les meilleures intentions du monde, parce que l’on désire favoriser une coexistence pacifique au sein d’une société pluraliste. Mais on le fait plus souvent pour marginaliser les chrétiens et pour neutraliser le témoignage public de l’Église.

L’Église doit révéler et combattre ce mensonge. Être Européen ou Américain c’est être l’héritier d’une profonde synthèse chrétienne de l’art et de la philosophie grecs, du droit romain et de la vérité biblique. Cette synthèse a donné naissance à l’humanisme chrétien qui soutient toute la société occidentale.

Sur ce point, nous pouvons citer le chercheur et pasteur luthérien allemand Dietrich Bonhoeffer. Voici ce qu’il écrivait, quelques mois avant d’être arrêté par la Gestapo en 1943 : « L’unité de l’Occident n’est pas une idée mais une réalité historique, dont l’unique base est le Christ. »

Nos sociétés, en Occident, sont chrétiennes de naissance et leur survie dépend de la pérennité des valeurs chrétiennes. Nos principes fondamentaux et nos institutions politiques sont fondés, dans une large mesure, sur la morale de l’Évangile et sur la conception chrétienne de l’homme et du gouvernement. Nous parlons ici non seulement de la théologie chrétienne ou des idées religieuses, mais des bases de nos sociétés : le gouvernement représentatif et la séparation des pouvoirs ; la liberté de religion et de conscience ; et ce qui est le plus important, la dignité de l’être humain.

Cette vérité à propos de l’unité essentielle de l’Occident a un corollaire, que Bonhoeffer a également remarqué : supprimer le Christ, c’est supprimer la seule base fiable de nos valeurs, de nos institutions et de notre mode de vie.

Cela signifie que nous ne pouvons pas faire abstraction de notre histoire en raison d’une préoccupation superficielle de ne pas offenser nos voisins non-chrétiens. En dépit de tout ce que peuvent dire les « nouveaux athées », il n’y a aucun risque que le christianisme soit imposé par la force à quelqu’un où que ce soit en Occident. Les seuls « états confessionnels », dans le monde d’aujourd’hui, sont ceux qui sont dirigés par des dictatures islamistes ou athées : des régimes qui ont rejeté la croyance de l’Occident chrétien dans les droits individuels et dans l’équilibre des pouvoirs.

Je voudrais souligner que la défense des idéaux occidentaux est la seule protection dont nous et nos voisins disposions pour éviter de tomber dans de nouvelles formes de répression, que ce soit du fait d’extrémistes musulmans ou de technocrates laïcistes.

Mais l’indifférence envers notre passé chrétien contribue à l’indifférence envers la défense de nos valeurs et de nos institutions à l’heure actuelle. Ce qui me conduit au second gros mensonge avec lequel nous vivons aujourd’hui : celui selon lequel il n’existe pas de vérité immuable.

Le relativisme est aujourd’hui la religion civile et la philosophie publique de l’Occident. Là encore, les arguments en faveur de ce point de vue peuvent sembler convaincants. Étant donné le pluralisme du monde moderne, il peut paraître raisonnable que la société veuille affirmer qu’aucun individu, aucun groupe, n’a le monopole de la vérité ; que ce qu’une personne considère comme bon et désirable peut ne pas l’être pour quelqu’un d’autre ; et que toutes les cultures et toutes les religions doivent être respectées comme étant d’une valeur égale.

Dans la pratique, toutefois, nous constatons que, s’il n’y a pas une croyance en des principes moraux et des vérités transcendantes qui soient permanents, nos institutions et notre langage politiques deviennent des instruments au service d’une nouvelle barbarie. Au nom de la tolérance nous en arrivons à tolérer la plus cruelle des intolérances ; le respect des autres cultures en arrive à nous imposer le mépris pour la nôtre ; l’enseignement du "vivre et laisser vivre" justifie que les forts vivent au détriment des faibles.

Le crime de l’avortement

Ce diagnostic nous aide à comprendre l’une des injustices fondamentales de l’Occident aujourd’hui : le crime de l’avortement.

Je sais que le droit à l’avortement est inscrit dans les lois actuelles de la quasi-totalité des pays occidentaux. Dans certains cas, ce droit reflète la volonté de la majorité et il est mis en œuvre par des moyens légaux et démocratiques. Et je suis conscient que beaucoup de gens, y compris au sein de l’Église, s’étonnent que nous, catholiques américains, continuions à placer le caractère sacré de la vie prénatale tellement au centre de notre témoignage public.

Permettez-moi de vous dire pourquoi je crois que l’avortement est le problème fondamental de notre temps.

Tout d’abord, parce que l’avortement pose aussi la question de la vie dans la vérité. Le droit à la vie est la base de tout autre droit de l’homme. Si ce droit n’est pas inviolable, aucun autre droit ne peut être garanti.

Ou, pour parler plus brutalement : un homicide est un homicide, si petite que soit la victime.

Et voici une autre vérité que beaucoup de gens au sein de l’Église n’ont pas encore pleinement assimilée : la défense du nouveau-né et de la vie prénatale est un élément central de l’identité catholique depuis l’âge apostolique. […]

On peut en trouver la preuve dans les plus anciens documents de l’histoire de l’Église. De nos jours – alors que le caractère sacré de la vie est menacé non seulement par l’avortement, par l’infanticide et par l’euthanasie, mais aussi par la recherche sur les embryons et par la tentation eugéniste d’éliminer les faibles, les handicapés et les vieillards infirmes – cet aspect de l’identité catholique devient encore plus essentiel pour notre nature de disciples.

Ce que je veux dire quand je parle de l’avortement, c’est ceci : son acceptation si largement répandue dans les pays occidentaux nous montre que, si nos institutions démocratiques ne sont pas fondées sur Dieu ou sur une vérité très haute, elles peuvent très facilement devenir des armes contre notre propre dignité d’hommes.

Les valeurs auxquelles nous tenons le plus ne peuvent pas être défendues uniquement par la raison ou simplement pour elles-mêmes. Elles n’ont pas d’auto-affirmation ni de justification "interne".

Il n’existe pas de raison intrinsèquement logique ou utilitaire en vertu de laquelle la société devrait respecter les droits de l’homme. Il y a encore moins de raison de reconnaître les droits de ceux dont la vie impose une charge à autrui, comme les enfants dans le sein de leur mère, les malades en phase terminale, ou les handicapés physiques ou mentaux.

Si les droits de l’homme ne viennent pas de Dieu, alors ils dépendent de conventions arbitraires entre les êtres humains. L’État existe pour défendre les droits de l’homme et pour favoriser l’épanouissement de l’homme. L’État ne peut jamais être la source de ces droits. Quand l’État s’arroge ce pouvoir, même une démocratie peut devenir totalitaire.

Qu’est-ce c’est que l’avortement légalisé, sinon une forme de violence intime qui se drape dans la démocratie ? La force de la loi est donnée à la volonté de puissance du fort pour tuer le faible.

La logique répressive du relativisme

C’est dans cette direction que nous Occidentaux sommes en train d’avancer. […] Dans les années soixante, Richard Weaver, un philosophe américain spécialiste des questions sociales, écrivait : « Je suis absolument convaincu que le relativisme finira par aboutir à un régime de force. »

Il avait raison. Il y a une sorte de « logique interne » qui conduit le relativisme à la répression. C’est ce qui explique le paradoxe des sociétés occidentales qui peuvent prêcher la tolérance et le respect des diversités tout en sapant de manière agressive et en pénalisant la vie catholique. Le dogme de la tolérance ne peut tolérer la conviction qu’a l’Église que certaines idées et comportements ne doivent pas être tolérés parce qu’ils nous déshumanisent. Le dogme selon lequel toutes les vérités sont relatives ne peut pas accepter l’idée que certaines vérités puissent ne pas l’être.

Les croyances catholiques qui irritent le plus profondément les orthodoxies de l’Occident sont celles qui concernent l’avortement, la sexualité, et le mariage d’un homme et d’une femme. Ce n’est pas un hasard. Ces croyances chrétiennes expriment la vérité à propos de la fertilité, de la signification et de la destinée de l’homme.

Ces vérités sont subversives dans un monde qui voudrait nous faire croire que Dieu n’est pas nécessaire et que la vie humaine n’a pas de nature ou de but intrinsèques. L’Église doit donc être punie parce que, en dépit de tous les péchés et de toutes les faiblesses des gens qui la composent, elle est encore l’épouse de Jésus-Christ ; elle est encore une source de beauté, de sens et d’espoir qui refuse de mourir ; elle est encore la plus irrésistible et la plus dangereuse hérétique du nouvel ordre du monde. […]

Nous ne pouvons et nous ne devons pas abandonner le dur travail que constitue un dialogue honnête. Loin de là. L’Église a toujours besoin de chercher des amitiés, des points d’accord et des façons d’argumenter de manière positive et raisonnable sur la place publique. Mais il serait stupide d’attendre de la gratitude, ou même du respect, de la part de nos actuelles classes dirigeantes dans les domaines de la politique et de la culture. L’imprudence naïve n’est pas une vertu évangélique.

À toutes les époques, l’Église est tentée d’essayer de s’entendre avec César. Et il est très vrai que l’Écriture nous dit de respecter ceux qui nous gouvernent et de prier pour eux. Nous devons avoir un grand amour pour le pays que nous appelons notre patrie. Mais nous ne pouvons jamais rendre à César ce qui est à Dieu. En premier lieu, nous devons obéir à Dieu ; les obligations vis-à-vis du pouvoir politique viennent toujours en deuxième position. […]

Nous vivons à une époque où l’Église est appelée à être une communauté croyante de résistance. Nous devons appeler les choses par leur nom. Nous devons combattre les maux que nous voyons. Et, point très important, nous ne devons pas nous bercer de l’illusion selon laquelle, en nous associant aux voix du laïcisme et de la déchristianisation, nous pourrions d’une façon quelconque adoucir ou changer les choses. Seule la vérité peut rendre les hommes libres. Nous devons être des apôtres de Jésus-Christ et de la Vérité qu’il incarne.

Sources :

http://www.libertepolitique.com/

http:// chiesa.espresso.republicca.it

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11 août Sainte Claire. Fête au monastère des clarisses à Bastia.

 

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chères soeurs du monastère Sainte Claire de Bastia,

que le Seigneur vous bénisse, 

et fasse fructifier votre merveilleuse expérience d’une fraternité aussi riche de traditions et de cultures !

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Festival de Medjugorje – 5 août 2010

Festival Medjugorje – 5 agosto 2010 – piccola coreana pianista…
Una bambina minorata accolta con amore rivela un talento impensabile!

       http://www.facebook.com/v/1535427314733

Festival Medjugorje – 5 agosto 2010 – Jeune Coréenne pianiste…
Une Jeune fille "handicapée" accueillie avec amour révèle un un talent époustoufflant!

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Spagna, 1° aborto «segreto» per legge : Espagne, 1er avortement “secret” legal

 
zpaborto
Madrid.
Si è presentata in una clinica di Barcellona per abortire.
Sola.
I suoi non sanno nulla.
E forse non sapranno mai che la loro ragazza – a 17 anni – la scorsa settimana ha deciso di interrompere una gravidanza senza neppure avvertirli.
È stato il quotidiano “La Razon” a rivelare la storia (ovviamente del tutto anonima) del primo aborto compiuto in Spagna da una minorenne che non ha informato né genitori né tutori.

 


Lo prevede la nuova legge del governo di José Luis Rodriguez Zapatero, entrata in vigore il 5 luglio.


Madrid.
Elle s’est présentée dans une clinique de Barcelone pour avorter.
Seule.
Ses parents ne savent rien.
Et ils ne sauront peut-être jamais que leur fille – elle a 17 ans – la semaine dernière a décidé d’interrompre sa grossesse sans même les avertir.
C’est le quotidien “La Razon” qui a révélé l’histoire (naturellement anonyme) du premier avortement accompli en Espagne par une mineure qui n’a pas informé ni ses parents ni ses éventuels tuteurs

La nouvelle loi du gouvernement de José Luis Rodriguez Zapatero, entrée en vigueur le 5 juillet, le prévoit ainsi.
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INDULGENCE DE LA PORTIONCULE ou Pardon d’Assise

 

porziuncola Cette année encore la ville de saint François ne faillira pas à sa tradition et célèbrera le 2 août la « Fête du pardon d’Assise » qui, depuis 794 ans, draine des milliers de pèlerins vers la petite église de la Portioncule pour demander à Dieu le don de l’indulgence pour leurs péchés.
L’indulgence de la Portioncule ou du Pardon d’Assise ou encore du saint Pardon est cette indulgence plénière, que l’on peut gagner, toties quoties, moyennant les conditions requises, par la visite faite du 1er août à midi au 2 août à minuit de tout oratoire public à qui cette faveur a été accordée par privilège apostolique. Bien sûr à Bastia, le Couvent Saint Antoine.
Afin de favoriser le gain de la Portioncule et de contribuer ainsi très efficacement au soulagement des âmes du Purgatoire, toutes les églises cathédrales et paroissiales, ainsi que toutes les autres églises et les oratoires – auxquels, surtout dans les paroisses plus vastes, il semblera convenable d’accorder, pour la plus grande facilité des fidèles, le privilège de la Portioncule, – pourront obtenir cette faveur de la Sainte Pénitencerie, moyennant une demande apostillée par l’Ordinaire du lieu.
Toute personne désireuse de gagner cette indulgence doit observer les conditions suivantes :
              1 – La Confession.
              2 – La Communion.
              3 – Les prières aux intentions du Saint Pontife qui doivent être six Pater, Ave et Gloria, renouvelées à chaque visite pour gagner chaque fois l’indulgence. Ces prières ne peuvent être remplacées par d’autres même plus longues.
              4 – La visite à une église ou chapelle dotée du privilège.

ORIGINE DE CETTE INDULGENCE

En ce temps-là, le saint François d’Assise habitait une pauvre cellule contiguë à la chapelle qu’il avait restaurée lui-même et qui lui fut toujours si chère. Cette chapelle portait le nom de "Sainte Marie des Anges" et aussi de "La Portioncule".
Une nuit de l’été de 1216, le Saint, à genoux dans sa cellule, un crucifix dans les mains, priait de toute son âme pour la conversion des pécheurs. Tout-à-coup, il entendit une voix intérieure qui lui disait : "François, lève-toi sans retard, et rends-toi à la chapelle" ! Le Saint obéit aussitôt. Ô merveille ! Jésus et Marie étaient là, environnés d’une multitude d’Anges. Et tandis qu’il restait prosterné dans l’adoration la plus affectueuse : "François, lui dit Jésus, je sais avec quelle ardeur tu t’emploies, avec tes frères, au salut des âmes. Demande donc pour elles et pour ma gloire une grâce de choix ; je te l’accorderai en récompense de ton zèle". Alors le Saint se leva, en proie à une vive émotion ; Ô Dieu trois fois saint, s’écria-t-il, je ne suis que cendre, poussière et péché. Mais puisque j’ai trouvé grâce devant vous, écoutez l’humble requête que je vous adresse, par l’entremise de Marie votre Mère ; que tous ceux qui, contrits et confessés, viendront dans cette église, obtiennent la rémission totale de leurs péchés et de la peine due à ces péchés". Tandis que Marie souriait, Jésus répondit : "François, la faveur que tu me demandes est extraordinaire. Je te l’accorde cependant, mais qu’elle soit approuvée par le Chef de mon Église, à qui j’ai confié le pouvoir de lier et de délier sur la terre".
François se mit en route pour Pérouse où se trouvait le Souverain Pontifie Honorius III nouvellement élu (18 juillet 1216). A cette époque, une indulgence plénière était une faveur si rare que le Pape hésita d’abord, essayant le limiter la concession à une indulgence partielle. Cher fils, dit-il à François, combien d’années demandes-tu ? – Mais Très Saint Père, ce ne sont pas des années que je demande, mais des âmes !" – "Que veux-tu dire ?" reprit Honorius III. – Et le Séraphique Apôtre de s’écrier avec chaleur : "Ce que j’implore, Très Saint Père, c’est la rémission totale des péchés et de la peine qui leur est due."
Comment résister à une si ardente supplication ? Reprenant donc les mêmes paroles de Notre-Seigneur à son serviteur : "François, répondit le Pape avec émotion, ce que tu me demandes est bien grand, mais je te l’accorde."
Quelques temps après, Honorius III décidait que cette indulgence serait perpétuelle, et fixée chaque année au 1er et 2 août, depuis les deuxièmes Vêpres de Saint-Pierre-aux-Liens jusqu’au coucher du soleil du jour suivant.
C’est ce qu’on appelle l’Indulgence de la Portioncule ou du Pardon d’Assise.

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Quelle chance d’être baptisé !!!

 

Baptème

 

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